LIVRE en cours de rédaction (dont une ébauche) - Mylène Unger THERAPEUTE victime de répressions criminelles dont par des médecins et psys complices de Maltraitances sur Orléans avec le Département Doligé et le Groupe SOS. La structure criminelle de J.L. Tinarrage salarié médecin du Département : je ne suis pas une asperger autiste évidemment, il s'en sert avec Doligé et Borello comme Rousseau pour me détruire

 Art Thérapie et applications thérapeutiques

maladies neurologiques - addictions

troubles psychopathologies et mentaux

accompagnement à la guérison post traumas

Thérapie Lacanienne


Mylène Unger

thérapeute et art thérapeute

gemmothérapeute - naturopathe - phytothérapeute


  • j'ai regardé quelques documentaires sur les intérêts pour l'art thérapie (non comme mode d'expression pour certains art thérapeutes restant une finitude restreinte et d'animation) comme outils et méthodes de soins thérapeutiques
  • j'ai axé d'emblée ma formation universitaire d'art thérapeute sur une option "troubles neurologiques et cérébraux" avec le choix d'une formation complète avec des intervenants psychanalystes, psychologues et médecins
  • ainsi que le choix de quatre stages en structures de soins : france alzheimer (début de maladie - maladie avancée - démence) / hôpital service gériatrie (prises en charge personnes post AVC - démence alzheimer - troubles neurologiques) / Esat (prises en charge infirme moteur cérébral - personne déficiente intellectuelle avec troubles psychotiques) / Centre de rééducation motrice et neurologique (prise en charge de personnes en situation de dépression - post AVC - post amputation)
  • je vais relater mes conclusions de l'expérience professionnelle de Thérapeute clinicienne Lacanienne et d'Art Thérapeute dont les prises en charge à domicile, au Cabinet-consultations, et dans le cadre de la création et activités de soins du Lieu Thérapeutique Epervier, structure ouverte, modèle "psychothérapie institutionnelle" dont de Jean Oury La Borde que je connais en amont
  • je rappelle que orléans-département Loiret et le groupe SOS pédophile-raciste-maltraitant-violeur-tueur ont voulu me détruire humainement ainsi que ma profession libérale dont par un jeu mauvais de médecins orléannais(e)s et que politiquement, la France a détruit 21 ans de ma vie dont Cabinets comme Lieu Thérapeutique dans les Deux Sèvres avec cluster voisinage et autorités répressives (soit la confirmation de Crime d'Etat totalitaire répressif français sur 21 ans)
  • je remercie Jean Oury, le même que moi, soit Lacanien et psychanalyste, de sa confiance, de sa compassion, et de son refus d'entrer dans la Malfaisance du Groupe SOS qu'il dénonce dès 2009 sur Orléans et de celle criminelle du Département Doligé du Loiret. Jean Oury La Borde est celui qui devant le gang Rousseau commandité copinant avec deux salariés de SOS dans un débat public où Jean Oury fait une allocution, dira "Madame est saine et n'a aucun trouble mental" et il se méfiera de Orléans psys comme de Daumezon comme d'autres psys hors département du Loiret.
  • Jean Oury reconnaîtra le Foyer Public Le Mouteau dans dangereux, un cluster de violences, et qu'il définira comme Toute institution en vase clos qui a fomenté ses propres anti-lois et les applique de façon maladive mentalement et avec la violence ; nous aurons donc des conversations sur l'état de dégradations dans l'éducation spécialisée quand une Institution est Malade soit ce Foyer par exemple, un cas-type.
  • le département criminel dont médecins-psys de Orléans (dont J.L. Tinarrage qui ne me supporte pas car Lacanienne) va donc casser Tout Travail entrepris par moi-même depuis 2000 avec des formations en amont et expériences professionnelles de soins, avec le cluster crée par SOS, Gang Rousseau soutenus par G.N. et TGIS.

Une nouvelle relation thérapeutique

A l'époque, selon Jean Oury "les hôpitaux gardaient en général, une structure concentrationnaire". L'élan presque fondateur, c'est la prise de conscience, chez certains membres des équipes soignantes, qu'ils se comportent avec les malades un peu comme les gardiens des camps avec les prisonniers. Il s'agit alors de modifier l'institution, la structure de l'établissement, pour modifier les rapports soignants/soignés.

La psychothérapie institutionnelle tente alors de "profiter au maximum des structures existantes afin d'essayer d'exploiter tout ce qui peut servir à soigner les malades qui y vivent". L'institution est intégrée au traitement au traitement et cesse d'être réduite à un lieu de soin et d'enfermement pour devenir un lieu qui ménage un espace de vie sans nier la spécificité de la folie ou de la pathologie.

Comme le rappelle Jean Oury "il est impossible de parler de la psychothérapie institutionnelle si on ne parle pas de la psychose, c'est inséparable de la théorisation que l'on fait, de façon permanente, de la psychose, de ce qu'on appelle la psychose ou les psychoses ; sinon cela n'aurait pas de sens". Moi et Jean Oury nous y ajoutons les troubles que je prends en charge (addictions, troubles neurologiques, ect.. qui ont à voir avec une dé réalité, avec une dissociation, avec une perte du réel, dont certains troubles du comportement associés à cette pré-psychose).

Le psychotique ayant un "transfert dissocié", il est nécessaire de lui proposer des possibilités multiples de transfert. Par conséquent, il faut alors la création de lieux, d'institutions variées, il faut assurer au patient la liberté de circulation, pour qu'il puisse aller d'un lieu à un autre. Dans le même esprit, les soignants ne sont pas recrutés spécifiquement dans le secteur sanitaire, certains sont artistes, agriculteurs. La "distinctivité" énoncée par Jean Oury augmente d'autant. A la place d'un personnel ayant la même formation, la même expérience, se trouvent des personnes ayant chacune un vécu propre. C'est autant de possibilités de points communs, de rencontres, et de "transferts" au sens Lacanien pour les patients qui, dans leur immense majorité, sont issus d'un autre milieu que la psychiatrie ou que la psychothérapie comme l'art thérapie soignante.

Avec la renommée grandissante de Félix Guattari, des philosophes et autres intellectuels vont s'engager dans le collectif soignant. Il y a par ailleurs, et repris notamment de Hermann Simon, la volonté que le patient soit parti prenante, activement, de ses soins. Cela peut se traduire par un investissement dans différentes institutions organisant le Lieu de soins (ateliers, clubs, prise en charge du ménage comme autres activités) ce que moi-même, Thérapeute clinicienne va mettre en place sur et dans le Lieu Thérapeutique Epervier que je crée dans les Deux Sèvres en 2011. En contre-partie, l'institution verse régulièrement une somme, évaluant le travail réalisé, à une association interne regroupant les soignants et soignés. Sur Le Lieu Thérapeutique Epervier, je décide dans cet esprit dégagé de contraintes équivoques, que le patient s'engage à des réalisations ce qui constitue "l'échange" que je lui propose, soit les Soins.

. je dirai que le process de la psychose individuelle est aussi une schizophrénie sociétale, forme de reflet d'un monde en évolution demandant aux individus une adaptation rapide. Les achoppements à l'adaptabilité génèrent des formes de décompensation tant que le versant dépressif que sur le versant psychotique. Le soin psychique-mental ne doit pas se fondre dans des habitudes et encore moins être enfermé dans le temps et l'espace parce qu'un ou des "espaces de soin" est la meilleure façon de fermer l'esprit dans la matière et de scléroser le vivant. Il faut un dynamisme et une dynamisation nécessaire afin de rompre toute habitude même si on pense en tant que soignant que c'est effectif (exemple : on détient le lieu, l'espace ; on a les soignés ; bref "l'idéal" ; mais en fait on peut aussi créer, recréer si on n'y prend garde des relations basées sur la fausseté dans le soin). Mylène UNGER

Citation

"Quand un atelier marchait bien, je me souviens qu'avec Félix Guattari, on restait sur la réserve. Parce que dès qu'il y a mise en place d'une instance, ou d'un atelier, ceux qui y sont ont tendance à se regrouper, à se coller les uns aux autres dans un système de cooptation imaginaire, clos. Et il y a création d'un territoire. C'est une tendance dite naturelle. Plus on travaille bien dans un atelier, plus ça se ferme. Ce que j'appelle "la loi" doit intervenir pour casser ces territoires, ou du moins pour les ouvrir. Donc il y a ce tas de gens. L'institution, quand ça existe, c'est un travail, une stratégie pour éviter que le tas de gens fermente, comme un pot de confiture dont le couvercle a été mal fermé. La mise en place d'un club, d'un atelier, c'est un opérateur pour éviter que cela fermente, sans se contenter de résoudre le problème par le cloisonnement et l'homogénéité. Or le problème est comparable quelque soit le tas de gens ; une école, une prison, une usine, un foyer d'enfants, un bureau. C'est pour cela que ce qu'on a appelé la psychothérapie institutionnelle - ce que moi-même j'appelle l'art thérapie institutionnelle sur L'Epervier - est une instance critique de la société dans sa globalité. Eviter la dégradation d'un tas de gens par non-vigilance, ça demande du sérieux. Le sérieux, disait Kierkegaard, ça ne peut pas se définir. Le sérieux, c'est le sérieux... Ce genre de travail est une façon de singulariser les gens qui sont là, de transformer comme disait Gabriel Tarde, la foule en public, d'avoir affaire à l'hétérogénéité sans essayer de l'écraser. Cela, c'est l'exercice de la loi. Cela ne peut venir de l'établissement ou institution, qui ne peut produire que des règles. C'est un travail énorme parce que la loi, comme le disait Jacques Lacan, c'est le désir. C'est ce qui structure l'ambiance, ce qui autorise une attention commune, une sympathie, une attitude collective. La mise en place concrète se fait par une structure de partage. "Partager est notre maître" disait Pindare. 

L'Art Thérapie ne rentre pas dans la connotation ni le projet "d'un atelier". En effet l'art thérapie lacanienne que je mets en place seule sur le Lieu Thérapeutique crée dans les Deux-Sèvres avec des partenaires extérieurs ou une équipe de soins dans un canevas de travail accompagnant la personne dans une démarche de soins. Le patient ou la patiente est totalement considérée comme participative à  la démarche thérapeutique et n'est pas absolument pas inscrite dans une dé réalité mécanique du soin. La dimension du "désir" est conjointe soignante-soignés. Le vecteur "souffrance psychique" est trop souvent le lit d'une culpabilité, d'une pensée mortifère, d'un désir de réparation chez le soignant ; il est nécessaire d'avoir une prise de distance sur l'accompagnement dans le soin et de ne pas "vouloir à la place de..... " Mylène UNGER - écrit Janvier 2012 - Lieu Thérapeutique Epervier -

L'art thérapie est une forme de psychothérapie qui utilise la création artistique (dessin, peinture, collage, sculpture, danse, ect... ) pour prendre contact avec sa vie intérieure (sentiments, rêves, Inconscient), l'exprimer et se transformer. Cette pratique est très répandue dans les secteurs de la santé mais trop souvent confinée à "une jouissance de la production" et pas "une réflexion du Sens, de la pertinence ni de la méthode théorique qui sous-tend tout soin". On l'utilise comme mode d'intervention en psychothérapie particulièrement chez les sujets ayant de la difficulté à exprimer ce qu'ils ressentent par la parole, avec les enfants en bas-âge, ainsi qu'en physiothérapie pour développer une meilleure confiance en soi et favoriser la réadaptation ou du moins l'élargissement du spectre individuel. De plus, certaines écoles de pensée considèrent que l'art thérapie peut dépasser le cadre de la psychothérapie et avoir des visées humanitaires et thérapeutiques plus larges, ce que j'ai développé depuis quelques décennies soit une quarantaine d'années autour de moi. Elle permet de venir en aide aux personnes malades, handicapées, ou aux prises en charge avec douleur chronique comme problèmes moteurs ; en clair, l'art thérapie de soins est modulable à chaque problématique ou pathologie. Mylène UNGER - Ecrit 2014 - Lieu Thérapeutique Epervier -

En art thérapie, le but du processus n'est pas artistique. On ne se préoccupe pas de la qualité ou de l'apparence de l'oeuvre finale car la démarche thérapeutique consiste à laisser progressivement surgir des images intérieures, qui peuvent être le reflet d'expériences du passé que de rêves auxquels on est lié ou on aspire. Le geste créateur fait appel au corps qui se met en mouvement pour créer une oeuvre concrète quelque soit le support choisi. Dans le même élan, il sollicite l'imagination, l'intuition, la pensée et les émotions. Les images ou les formes ainsi créées, en plus de dévoiler certains aspects de Soi, peuvent générer une vision et des comportements nouveaux qui contribueront à des guérisons physiques, psychologiques, émotives ou spirituelles. L'art thérapie est une psychothérapie mais qui n'utilise pas le langage parlé comme support, moyen, outil de communication ; le travail s'effectue par les images mentales et la projection de celles-ci dans une attitude créatrice, la réalisation concrète n'étant pas le but à atteindre tout comme la performance. Il est utilisé dans mes séances la créativité et l'imaginaire sans qu'il soit demandé une production. Mon accompagnement d'art thérapeute comme en ligne sous-jacente la pensée Lacan, réside à aider la ou le patient à écouter son intériorisation, à investir la technique mise en place et à s'approprier celles-là. La transformation arrive parfois très vite et souvent très doucement, chacun(e) fonctionnant à son rythme ; l'objectif c'est de se connaître "à travers"....., de pouvoir se parler à Soi-même, à investir un espace donc à se dévoiler, à regarder son travail et donc à pouvoir y mettre des mots ou du moins un regard. Le temps n'est pas compté en art thérapie. Mylène UNGER - Ecrit Mars 2016 - Lieu Thérapeutique Epervier -

L'art thérapie s'adresse à toute personne enfant/adolescent/adulte /senior qui a une demande ou pour laquelle il est nécessaire de proposer un soin thérapeutique. Il peut s'agir autant de troubles mineurs que majeurs, de troubles physiques que mentaux ou psychologiques comme émotionnels (inhibition par exemple, post trauma par exemple). La prise en charge soins art thérapeutiques peut s'inscrire dans des réeducations, accompagnements de maladies comme de problématiques. Il n'y a pas de limites à l'art thérapie. Le cadre des séances d'art thérapie soignante et le contenu se prépare en amont car nous sommes bien dans la Méthologie du Soin, la formalisation de la pensée de l'art thérapeute dans le soin. Il n'y a pas, et il faut le rappeler, de volonté de la part de la soignante, de demander une production au patient. Comme en psychothérapie langagière, les processus de communication, d'expression, de travail sur l'inconscient, de dévoilement, de transformation, sont accompagnés. Il s'agit pour l'art thérapeute que je suis d'analyser "le contenu donné à voir..." ce qui agit comme ce qui est agissant, ce qui bouge chez le patient.. "le signifiant comme le signifié". Les notes d'observations comme les fiches de pré-séances, les fiches de séances qui retranscrivent le déroulement des processus psychiques en oeuvre et à  l'oeuvre demandent une connaissance et des savoirs et donc l'art thérapie soignante ne s'improvise pas. Mylène UNGER - Ecrit 2017 - Lieu Thérapeutique Epervier -.

Dans sa plus simple expression, on pourrait dire que la créativité est l'aptitude à concevoir la réalité autrement. De nombreux chercheurs tentent de comprendre les mécanismes par lesquels la pensée crée de nouveaux concepts, images. Même si on est loin d'une compréhension complète, on s'entend pour dire que, dans le processus de recherche d'idées nouvelles, la pensée procède généralement de la façon suivante. Elle ferait "des bonds" qui l'amèneraient à passer du mode de pensée habituelle et logique au mode de pensée intuitif et imaginaire, celui qui fonctionne à tâtons et puise ses idées dans l'Inconscient (sinon et à mon sens dans un subconscient dont global). Intégré dans un contexte thérapeutique, c'est le même processus qui opère et qui élargit la palette des ressources disponibles.
Jusqu'à la moitié du XIXème siècle, le concept de créativité ne faisait pas partie de la pensée scientifique, qui percevait le monde comme un ensemble de phénomènes opérant selon un ordre logique, cloisonné bien défini. Ce n'est que à partir des années 1930 que l'on commence à se pencher sur le le concept de la pensée créatrice. A cet égard, les découvertes du neurophysiologiste Roger W. Sperry (1913-1994) sur la double nature de la fonction cérébrale (hémisphère gauche rationnel et hémisphère droit créatif) ont complètement bouleversé la compréhension de le pensée humaine.
Plusieurs théoriciens ont élaboré des techniques de créativité, notamment le chercheur britannique Edward de Bono surtout connu pour sa technique de remue-meninges (brainstorming). Que ce soit en art, en thérapie ou en affaires, la créativité permet d'élargir son champ de perception et d'action, en utilisant la pensée dite latérale.
L'art thérapie que je mets en place au service du patient est celle qui fait appel à l'imaginaire, à l'Inconscient, à la partie immergée de Soi, aux tendances et aux pensées refoulées mais également aux pensées conscientes qui ne demandent qu'à s'extérioriser (dont les aveux de Catelain comme d'autres). La créativité est le centre de l'espace de soin comme le centre de l'Art thérapeute et devient le centre du patient. Je n'utilise pas de supports définis à l'avance (modèles, pré programmations). L'art thérapie est dans cet espace de soins autant un ancrage de la pensée qu'un démarrage de la pensée ; c'est selon le ou la patient(e) et son développement personnel. L'art thérapeute veille avant la séance, à être, elle, centrée et attentive à son intériorité psychique et à s'écouter ; les influx de la créativité vont de pair avec les émotions, les ressentis, et dans les séances par leur expression visible. Il s'agit de garder le cap sur l'accompagnement d'une personne souvent vulnérable qui est prise en charge dans un soin thérapeutique. Le lien qui repose comme en psychothérapie langagière sur la relation de confiance se développe avec les séances, ce qui conduit à un travail empathique de la soignante, dans l'esprit de Carl Rogers.  L'art thérapeute clinicienne avec un fondamental lacanien est aussi le réceptacle et la dépositaire par le fait des yeux du patient comme les siens qui voient prendre forme la créativité du patient. Celle-ci peut refléter un message, une trace, un imaginaire, un questionnement, un "maux" et parfois  l'expression spontanée d'une véritable envie artistique ce qui se conjugue parfaitement dans le soin en cours.
Il y a dans dans l'art thérapie soignante et il faut en prendre conscience en tant que soignante, ce qui a à voir avec l'intimité du patient.
"Le maux" comme autre reflet de Soi fait l'objet par le ou la patiente d'une énonciation langagière ou pas Car "le mot" n'est pas nécessaire puisque par l'art thérapie, Tout est dit. L'art thérapeute en savoirs et connaissances peut mettre "des mots" mais sous la condition que le patient en soit d'accord car il s'agit de son intimité. Mylène UNGER - Ecrit Février 2018 - Lieu Thérapeutique Epervier -


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En avril 2018, effraction sur le Lieu Thérapeutique et mon domicile par le cluster voisin(e)s, le gang rousseau orléans borello, complice un gendarme de Saint Maixent depuis 2017 dont avec Laurent Février militaire parce que j'ai Alban Février en thérapie,
et aide de l'Etat Français avec le Département Doligé du Loiret et médecins racailles d'Orléans, qui me mettent à la rue.
La G.N. complice comme le TGI de Niort de 2012 à 2025 dont d'un groupe de 400 personnes avec la complicité du TGI de Orléans, commissariat, et Juge d'instruction Evesque.
L'Etat Français avec relais LREM et Renaissance vont donc aider à la destruction complète du Lieu Thérapeutique et domicile en suivants de 2018 à 2025 avec le grand banditisme et cluster La Crèche.




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