Françoise Gulung Professeur Agrégée de Maths a signalé en 1995,..................
Ce qui est sûr, c'est que la pluralité politique des Elu(e)s dans la Commission d'enquête de l'A.N. ne peut induire de cibler, une des rapporteurs étant du parti "Ensemble" comme l'autre rapporteur "Lfi" qui travaillent de concert et de façon efficace ensemble depuis le début. Et ne peut qu'évoquer un travail remarquable de cette Commission d'enquête de l'A.N.. Mme La Présidente Keloua-Hachi rappelle le lendemain de l'audition de Mr Bayrou, les objectifs de la Commission.
Mme la rapporteur, le lendemain de l'audition de Mr Bayrou, informe que à l'époque, trop de gens accep-taient la gifle, le coup de ceinture, ... comme "un non problème" ce qui peut dans le cas de Bétharam a masqué les violences sexuelles.
Sans cible qui que ce soit, Thérapeute comme Cadre Educatif, "la gifle n'est pas éducative ; aucun geste de violence n'est permis". Ayant eu des parents en thérapie qui ont fait part de leur culpabilité par un geste qu'il ou qu'elle regrette, j'ai toutefois dé dramatisé des cas ; par exemple, un jeune père de famille qui surpris par une morsure de son fils 2 ans 1/2 qui lui a fait très mal, n'a pas géré et a mis une tape sur la joue de l'enfant sans en plus, se rendre compte de sa force d'adulte sur un petit. Le père a fait des excuses à l'enfant et a pu dire son vécu dont regret comme culpabilité, qui est "un geste de réflexe" et non une volonté de donner une tape. J'ai eu en thérapie une mère qui ne venait pas pour cela, mais qui a abordé une gifle monumentale qui ont fait intervenir des passants dans la rue, que la mère a donné à son enfant de 9 ans qui n'a pas regardé les voitures et a traversé sans réfléchir. Le recours à cette gifle a été dit par la maman en thérapie qui exprime "je n'ai pas géré mon émotion et je le regrette". Ces exemples peuvent servir à comprendre que la prise de conscience que le recours à la gifle comme châtiment corporel est interdit, s'effectue, mais qu'il reste encore à faire de la Prévention sur cela
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il est gênant que lançant l'alerte de violences qui vont devenir, connus, de viols avec sévices, de fellations obligées sur des garçons, de sévices corporels
il soit dit des diffamations sur ce que cette dame donne comme informations : l'employeur a manipu-lé le médecin du travail car couvre les viols en diffamant la Professeure.
en effet cette dame a bien continuer son métier de professeure et comme je l'ai regardé faire ses décla-rations à la Presse comme à la Commission d'enquê-te de l'Assemblée Nationale, avec un âge un peu plus avancé,
Mme Gulung présente un discours calme, cohérent, sans violence ni incohérences.
- une journaliste Solhia Brakhlia France Info (après FR2 une autre animatrice liée à Borello-Ruffo puis Borello LREM-SOS) diffamante sur Mme Gulung qu'elle calomnie "réputée dérangée"... soit une dérive dans le mot choisi ; attention de ne pas tuer en direct télévision, les lançeur(e)s d'alerte qui sauvent des enfants de viols, sévices, "nus en pleine nuit", ou essaient de les sauver (coma comme pré coma à 2 ans d'intervalle dans un autre site Violences que Bétharam).
Mme Gulung Professeure Agrégée s'est bien interpo-sée entre un enfant et un adulte selon un Témoin auditionné, dans l'affaire Bétharam.
- que cette dame soit troublée parce elle est témoin de violences, je pense que tout individu sain psycho-logiquement et mentalement ne peut pas rester "de marbre" devant des faits de violences sur enfant(e)s.
Elle a alerté avec les moyens qu'elle a trouvé, à l'époque, dans un Etablissement pédagogique avec internat, en 1995 (courrier et oralement).
Sa mémoire est bonne, descriptive et elle prête sous serment. Ses interventions avant et après restent constantes, calmes, posées, analysant le présent, en changeant pas ses dires.
Que son témoignage et il y en a d'autres soit dérangeant, je puis le concevoir, mais la "démolir" ne changera pas le cours de l'histoire des violences dans Bétharam. Ce qui est certain, C'est que elle est avec un père, puis un autre père, une des seules qui va manifester sa surprise de la violence, va en faire part, soit une Alerte qui de sa place, est, honorable.
Peut-être que à l'époque, Mme Gulung qui est, rappelons-le une dame du pédagogique, en utilisant des voies hiérarchiques, aurait du s'adresser à une autre autorité. Si les témoignages de plusieurs personnes, adultes, à l'époque, dont des parents sont remis en cause alors que validés par une Commission d'enquête de l'Assemblée Nationale (soit des Elu(e)s de la République Française), Que diraient des Magistrats en 2025 forts de l'instruction de Mr Mirande qui inculpe un des hommes de Bétharam, de viol et le place en détention provisoire. On ne peut en 2024-2025, faire pression par voies détournées dont par ex-juge utilisé par le politique de l'époque, sur un témoin Magistrat de cette époque qui a témoigné sous serment devant des représentants de l'A.N.. (cela rappelle l'utilisation faite de Mr Roscenberg ex-juge mis en place de façon voulue pour détourner la vérité dans la ligue des droits de l'homme par le Groupe SOS dès 2005, et qui a influé sur le TGI de Orléans dans une affaire où des lançeur(e)s d'alerte sont traduits en justice pour avoir fait leur devoir : un psychiatre, une psychologue, une agent assermentée de la direction départementale du travail Etat, une salariée en formation de cadre éducatif).
------ comme le dit Mr Bayrou, sa mémoire a été hésitante comme il ne se rappelle pas certaines situations. Mais il est dommage de s'en prendre à une des lançeuses d'alerte car sans ces personnes, Personne ne décou-vrirait les mécanismes menant à des Violences ins-titutionnelles et systémiques. Surtout que la Commission d'enquête de l'A.N. n'est pas un tribunal et qu'il ne s'agit pas de cela ---------- Concernant Mr Bayrou, la recherche des mécanismes autres dont de responsabilités reste un travail utile.
De toutes façons, l'affaire ne tourne pas autour de Mme Gulung, un des éléments qui a permis de dé-couvrir les violences, qui sont confirmées par une hypothermie d'un enfant mis nu en slip en pleine nuit dehors par exemple par le père et médecin extérieur, mais bien Sur les Faits que des Violences ont existé et que des Enfants ont été victimes.
(le psychiatre dans une autre affaire, un internat mais d'éducation spécialisée, qui Alerte en 2003 puis 2004, se trouve affirmé en 2005 par une des formes de violences prises et une conséquence "un coma").
Je crois que l'Alerte donnée sur une violence, puis une seconde, puis une troisième, indique une Violence Systémique dans "un lieu donné précis" et que les antécédents de l'Etablissement pédagogique comme éducatif, public ou privé, internat, ne peut que suggérer qu'il y a à mettre en place des contrôles plus adaptés sur ce lieu connu comme posant un ou plusieurs problèmes dont de Violences sur Enfants.
Il parait évident que ces contrôles doivent s'exercer sur la Direction, sur l'association privée, sur l'organisme gestionnaire, du lieu pédagogique comme éducatif, donc par Qui ? en 2025, un des sujets que la Commission d'enquête Parlementaire dévoile. Soit la Société Civile, qui a une autorité représentative par les Lois Républicaines.
Dans le cas de Bétharam (privé) comme de SOS (privé qui gère du public départemental), éducation pédagogique avec internat, éducation spécialisée avec internat, Nous pouvons indiquer à l'Assemblée Nationale qui va se pencher sur le Travail de la Commission d'Enquête de l'A.N., qu'il ne s'agit pas que de référencer des personnes salariées ayant commis une faute dont pénale, Mais d'exercer un suivi et un contrôle, et dans le Temps, sur "un Bétharam institution" comme "un SOS entreprise" qui sont connus par le passé comme par le présent, comme "problématique récurrente de violences sur enfants".
Je rappelle à François Hollande qui demande que ce ne soit pas une affaire politisée, que il a lui-même et à contrario des Magistrats qui avaient rendu un juge-ment, cassé celui-ci soit en fin de son mandat de Président.
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