! Le Monde Avril 2025 ?
Comme je l'ai déjà explicité, la France après Jacques Chirac Président de la République qui était soucieux de la santé des citoyen(ne)s, des personnes vulnérables et de l'Enfance,
elle a périclité sous Sarkozy, autant dans un ratio du budget santé que des propensions idéologiques de contrôles de la population.
Les coupes ont été faites sur l'Hôpital, sur la Recher-che, comme en santé mentale apparaît "l'outil de l'Etat" soit la psychiatrie comme les codifications, les eugénismes invisibles, les marques de totalitarisme sur la population par un net calcul d'évaluations-de rapports- et le fameux "je ne veux voir aucune tête qui dépasse" soit l'émergence de la pensée unique en France.
Thérapeute, soignante, diplômes déjà obtenus, je me tourne dès 2000 vers le Québec, la Suisse et la Belgi-que où le Soin est de qualité comme ses prises en charge, où nombre de soignants sont déjà partis dans ces pays dont des médecins français ; parce que la France est arriérée, 19 siècle, discriminante, conser-vatrice, obséquieuse, en santé.
La recherche en sciences et le Soin seront minés sous le mandat de Hollande, avec les expatriements des entreprises du matériel de soins (la délocalisation sur des pays comme la Chine et l'Inde) et certainement avec un manque évident de cohérences entre les dis-positions avant Sarkozy, soit de "meilleure qualité de prises en charge voulue par Chirac" et les besoins en Santé en France sous Sarkozy et Hollande,
ce qui rejoint déjà les erreurs de choix dans les Dépenses Publiques où 2 secteurs majeurs sont lais-sés à l'abandon : l'Education et la Santé.
La chute de la Santé en France démarre sous Hollan-de comme les résiduels Sarkozy des fichages et utili-sations de la psychiatrie à des fins non sympathiques "un drainage des problèmes sociétaux et politiques sociétaux par des explications oiseuses sur support de vocables de la psychiatrie", ce qui va emplir les espaces médias, des essais d'espaces magistrature et lieux dédiés, comme une évidente apparition que un Fait politico-sociétal ne soit plus un Fait normal de réactivité sociétale (individuel, collectif) mais un épi-phénomène relevant de psychopathologie sinon carrément de psychiatrie,
exemple : un gréviste un peu énervé n'est plus un homme énervé qui dépasse les limites autorisées des codes sociaux dans une société donnée, mais devient un homme ayant des troubles psychologiques dues à une situation de précarité et ayant besoin de soins mentaux
exemple : un enfant de 4 ans plus tonique que les autres à l'école, et très moteur, n'est plus que un enfant de 4 ans hyper actif, dérangeant l'ordre de la classe et qu'il faudrait traiter médicalement
exemple : ect, ect,.....
Les Faits sociétaux dont les nouveaux comporte-ments comme les Faits politico-sociétaux vont se véhiculer (et Sarkozy en a la responsabilité de cette idéologie qui rappelle le Fascisme comme le Nazis-me) sous Hollande avec cette marque évidente que "si un enfant comme si un adulte, de part un compor-tement comme une parole différent comme différente d'une supposée "normalité sociétale" ou "politico-sociétale", exprimée,... devient un enfant comme un adulte, dérangeant".
Avec ce paradigme en France et donc une atteinte à la Liberté Individuelle par le biais de la Santé qui va rationner, contrôler, ficher, classifier, le fichage ADN sous Hollande comme les hospitalisations de gens qui dérangent ou les "on va les traiter médicale-ment", est devenu ce qui pose un problème majeur de Santé Publique, la médicalisation de la population et de tout âge,
exemple : une personne en Ehpad, âgée donc, qui a des véillités de faire ce qu'elle veut (repas, déplace-ments, choix), donc pas assez calme et conforme à l'idée que le politico-sociétal se fait de la personne âgée en Ehpad, "on la traite médicalement",
ce qui va sur les Foyers de vie et hébergement dans le secteur Handicap comme sur l'Enfance (et très tôt en âge).
D'aucuns diront dont des médecins qui ne "voient rien venir d'un présent comme d'un avenir sous anesthésie générale de la Pensée comme des Li-bertés" que "c'est pour leur Bien, à ces personnes âgées, ces enfants, et globalement à la population",
ce qui donne une flambée jamais vue de recours aux médicaments de toutes sortes, une panoplie conçue par les Laboratoires Pharmaceutiques qui de ce fait, encouragés, sont les nouveaux multi-milliardaires de la Planète humaine.
Cette hyper médicalisation donne la morphine in-jectée à des enfants de moins de 10 ans sous prétex-te de petites douleurs dans un hôpital, de traitements lourds par neuroleptiques sur des enfants sans aucun trouble mental mais en difficultés ponctuelles de vie, un calmant (!) à une personne âgée pas assez sage, et le recours aux psychotropes, aux anti-dépresseurs à la louche, aux anziolytiques à la pelleteuse, et une accentuation grave des troubles neurologiques, com-portementaux, de communications pour des "gens traités de façon anormale, illusoire, et chimico-politico-sociétalement". De même, nous voyons arriver en consultation, les "subutexiens" comme les "méthadoniens", les addictions des sevrages.
La sclérose du cerveau, la dépossession de la Pensée, l'anesthésie de fonctions neurologiques, sont les nouvelles tendances apparues sous Sarkozy, non stoppées par Hollande, et véhiculées par Macron, et
(600 Millions d'euros à la Santé Mentale sur 325 Milliards d'euros Budget publique 2024)
Ce qui est frappant dans l'Analyse de cette période sous 3 mandats présidentiels, c'est l'appartenance à une Idéologie (dont période covid), la remise par le Pouvoir politico-sociétal-judiciaire de la population aux mains de la "médecine des contrôles étatiques" qu'ont voulu des fascistes en amont, Mais qui en fait ont généré :
. la perte de sens dans le Soin
. une dénégation des médecines parallèles, humanistes
. un renforcement des pratiques médicamenteuses dont le traitement psychiatrique qui peut être délivré par un médecin généraliste donc une acceptation sociétale "on les traite"
. la casse du monde de la Santé comme des ses structures avec un discours politique sous Macron que les soignant(e)s n'ont rien à dire et doivent se plier à des codes politiques, et non plus à leur Serment d'Hypocrate avec un asservissement par l'argent
. une hyper médicalisation dans et sur toute la popu-lation
. les explications que tout individu quelque soit l'âge correspond non plus à un individu de la Pensée mais à un individu potentiellement trop pensant donc dérangeant, soit ce que Sarkozy a amené comme Idéologie dans la société française ; et bien repris sous Hollande comme Macron.
. le Fait Réel que au nom du Bien de la population, la Santé est devenue l'outil fasciste anti-Libertés dont de la Pensée
et que la Population Française n'a jamais consommé autant de médicaments d'origine chimique, comme n'a jamais autant absorbé de médicaments de la psy-chiatrie soit les empreintes sur le cerveau humain à des fins loin d'être bien traitantes. La France dépasse largement les % de consommations en Europe et nous savons que les corruptibilités sont aussi le lit de ce désordre dans la Santé, soit les dessous-de-table entre des décideurs politico-sociétaux avec des labo-ratoires pharmaceutiques qui de plus, en pouvoir obsessionnel d'emprises sur les populations comme en pouvoir d'argent au niveau mondial, ont réussi à prendre l'OMS comme toute Institution mondiale de la Santé.
. Les Dépenses Publiques dans la Santé sont la casse d'un modèle de Soin en France comme l'émergence graduée évolutive nocive sous période de 3 mandats présidentiels, donc en amont, de Choix Politiques sur et avec la Population de la Santé Française.
. Tout Système Politique qui paramètre les individus de tout âge par un bornage idéologique de la Santé dont la santé mentale, est celui qui amène le Fascis-me Sanitaire sur
la pensée d'un Bourdieu comme d'un Lacan
la pensée d'un opposant politique
la pensée d'un terroriste
la pensée d'un enfant en proie à des doutes, difficultés, ou/et violences que l'on lui fait
la pensée d'un poète, d'un rêveur, de celui ou celle qui est dans Sa Différence
Et
est à l'heure actuelle, la problématique de choix de société française dont J'exprime ma volonté de changement net dans les Lignes directrices de la Santé en France.
Avec les vocables qui vont avec.. qui courent autant dans les services de soins que dans les médias, et plus gravement dans le judiciaire qui voit arriver invisible mais présent, un propos qui d'un Fait sociétal comme un Fait politico-sociétal, Réel comme Réalisé, devient par un truchement évident, un Fait expliqué par un propos "psy quelque chose" et dont le Nazisme n'est pas loin comme toute Forme de Fascisme, dictature au Pouvoir.
Ce n'est pas le "psy quelque chose" qui pose pro-blème dans la société française comme dans certains pays, mais "ce qu'ils en ont fait" soit un détourne-ment, un contournement, comme carrément une volonté de modifier contexte-fait-réalité, et émise par un individu, un enfant, une association, une église évangélique, et
surtout "poser un diagnostique" sur une Pensée émer-geante, aux fins de la limiter, la cloisonner, et éven-tuellement de la briser.
Mon Choix Politique est d'assainir comme de réfuter des Idéologies apparues sous Sarkozy qui se sont amplifiées comme les trop médicamentations de la population, ce qui signent aussi un déclin dans les prises en charge comme une forme de "rapidité médicamenteuse agie" aux fins de régler une problé-matique individuelle comme collective d'un Malaise sociétal, d'un Malaise politico-sociétal, d'un Malaise qui a du Sens et qui est le Symptôme que quelque chose ne va pas.
Nous nous sommes aperçus en tant que Thérapeutes et certains médecins, que la Population française voulait rejoindre les Pays plus Ouverts et plus perfor-mants dans le Soin dont hollistique, et allait aussi vers d'autres approches de la Santé, dont non chimico-politico-sociétale. De la même façon, les médecines non allopathiques comme les vieilles ressources de Soins en France qui ont leurs corol-laires dans le Monde entier (les soignant(e)s d'il y a 2000 ans comme ceux des campagnes françaises du Moyen-Age) ont un regain de vigueur car la Popula-tion a deviné comme vu, les effets néfastes de choix politico-médico-sociétaux.
Sous Macron, la prise de pouvoir d'une médecine régnante despotique est visible car aidée à l'être, dont dans les structures de la Santé en France, comme de la santé mentale qui n'est pas elle un sujet de soins voulu mais un outil étatique de contrôles de la popu-lation de tout âge.
Tant que des médecins dont financièrement soudo-yé(e)s ne gèrent pas leur Autonomie par rapport au Politique, la question d'un danger sur la Santé (comme la Pensée soit le mental) reste posée en France et Mon Choix Politique est de les y aider.
Je souhaite que les audits sur des structures sanitai-res, médico-sociales, soient mises en place, non sur leur gestion Mais sur "Quelles pratiques de soins, avez-vous mis en place ?", sur "Respectez-vous l'individu dans la démarche de soins ?, sur "Que faites-vous aux fins de renoncer à une sur-médica-mentation de la population dans votre service, votre hôpital ?. et Je souhaite une Evaluation intra les services correspondant sur les Libertés comme sur le non-fichage des individus soit que la Santé "les faiseurs" réfléchissent sur leurs incidences à....
FIN DE VIE
Un homme atteint d'une maladie parkinsonienne vient sur un plateau de télévision parler de son choix de mourir, se sachant condamner à un handicap évolutif terrible. Et mon parcours professionnel de Thérapeute qui m'a amené à accompagner le/la patient(e) dans sa fin de vie et dans la mort me permet de donner mon avis sur une question posée sociétalement.
ce qui correspond et de façon profonde à la Philoso-phie, à l'Etude des Civilisations, à la Médecine "je sauve la vie", comme à l'Humanisme et l'Humanité, à la Spiritualité comme à la non croyance dans un rapport à Soi et au Monde de la naissance et de la mort comme de "Et après, il y a quoi ?".
Les Rapports relationnels, affectifs, et dans les Faits se sont codifiés autrement au 20ème siècle dont "la mort en ehpad et plus chez soi", dont "la crémation ôtant la période de deuil entre le décès et l'enterre-ment dont la veillée funèbre comme le partage du décès avec les autres", dont "la mort dans une unité de mort au sein de l'hôpital", dont un Rapport Codifié Comportemental Sociétal Différent. Il y a aussi une forme de résignation générale sur cet aspect de la Vie, de sa Vie, de la Vie des autres... "on va tous mourir un jour ou l'autre" ce qui donne soit l'Indifférence (les fours crématoires actuels comme les décès dans les structures publiques) soit aussi une Forme de comportements nouveaux éloignant la Mort comme les rituels si peu anciens du 20ème siècle
dont l'analogie d'une vieille tradition et d'un Rapport à la Mort, celui du Panthéon.
Peut-on dire que la Mort est dé sacralisée ?
Peut-on prétendre que ce nouveau comportement face et vis-à-vis de la Mort est l'émergence d'une conceptualisation intellectuelle Que l'humain a enfin accepté de n'être pas immortel, que sa Vie n'est que un passage, et que ce qui pourrait passer pour de l'indifférence n'est en fait que une Evolution sociéta-le générale
et qui va avec les outils de com comme d'infos, que la Mort a toujours existé, qu'elle fait partie intégrante de la Planète "Tout naît et Tout meurt" comme la Re vie (la plante qui revit au printemps, comme la filiation de la biche par ses faons) et que l'humain a accepté ce Fait de façon moins tragique, moins émotionnel, moins empreint d'obscurantisme.
Il y a une Conscience plus Evoluée du fait de la Mort pour chacun(e) ce qui donne les changements de codes autour du décès au 21ème siècle.
Egalement, chamane, druidesse, et sourcière magnétiseuse donc "je suis la Vie de l'Eau", comme les Prêtresses de l'ancienne Egypte mais d'ailleurs aussi dans le Monde, je suis une passeuse d'âmes ce qui renvoie aux Cultures traditionnelles anciennes toujours existantes comme aux Rites du passage de la vie à la mort d'un point de vue hollistique. Par parcours vécu, je Sais que l'âme a besoin le plus souvent d'être accompagnée dans le détachement du corps et du mental après le décès
ce qui renvoie à des croyances laïques populaires en France comme en Occident et dans le Monde entier
ce qui renvoie à des ritualisations dans les religions modernes qui ont souvent empruntées aux prêtres plus ancien(ne)s comme aux guides chamaniques comme druidiques qui s'occupaient aussi de la Mort.
Il faut noter que dans Toutes les Civilisations très anciennes, la Mort a fait l'objet de rituels, de prati-ques allant de la momification en Amérique du Sud comme en Egypte, allant des morts en Scandinavie et autres Peuples anciens qui brûlaient sur des autels ceux-ci, les 1ères séculptures. Je pense que par celles-ci, la Mort est conjurée, que le Mort est honoré, et que elles permettaient de scander la Vie dont de ceux-celles qui restent. Et la notion de l'Ame ou appelé Esprit est celle qui relève de la Métaphysique, une empreinte dans l'Humanité cosmologique ; mes Recherches comme expérimen-tations situent l'Ame dans la Physique Quantique.
Nous en arrivons donc à cette demande du 20ème vers les années 1970 et début du 21ème siècle, de la fin de vie,
charnelle, neurologique donc mentale-intellectuelle, soit Quand un médecin dit "il n'y a plus rien".. le coeur, le cerveau,... L'âme n'étant pas définie ni loca-lisée dans le charnel mais dans un espace indéfini émanant et relié à l'infini.
François prenant la mission de la spiritualité et de pape, ne croit pas que la guerre soit juste quelque soit le motif comme il pense que les malheurs sur Terre vont avec un Monde qui ne pleure plus sur ceux-ci ; et comme pour lui, la souffrance serait la vie sur Terre dont dans une fin de vie, vécue comme difficile par un humain. Moi Je ne renvoie pas au charnel incarné qui n'est que "le véhicule d'un Temps d'incarnation sur Terre"mais à la Réflexion sur la Mort, le décès, l'accompagnement au décès, et l'Ame à aimer comme à aider à se détacher de l'incarnation charnelle qui a été la sienne.
Par parcours de Thérapeute accompagnant des personnes dans le Deuil à faire, comme, le Deuil qui vous fait (Michel Onfray), je sais d'expériences les réalités vécues :
. la souffrance physique soit dans Sa Chair
. la souffrance psychologique
. la souffrance mentale
. les questionnements, sur sa vie passée, sur l'après
. et le rapport aux autres, aimés car la souffrance est celle de se savoir plus présent au Monde, de laisser les autres sans Moi qui ne suis plus là, soit un détachement qui passe d'abord par les relations charnelles concrétisées depuis la naissance
. comme pour beaucoup plus de gens que l'on ne pense, une Fin de Vie calme, prête à l'éventualité d'un "départ proche", une sagesse qui n'est pas que liée à l'inexorabilité du "je suis mortel", et avec plus ou moins de tranquillité un pré-amorce de pensées et d'acceptations du "départ",
ce qui constitue la majorité des personnes.
Mes patient(e)s sont dans le regret de quitter la vie sur Terre, d'autres appelent la Mort parce que sont en souffrance (le plus souvent physiques provoquant une souffrance psychologique) et provoquant aussi des souffrances familiales, comme d'autres se disent prêt(e)s au "départ",
et le mot "départ" qui est employé de façon naturelle par beaucoup de gens est cette croyance très ancienne, milliers d'années, que l'Humain a une relation innée avec la Cosmologie comme si il/elle savait que l'incarnation dans le charnel humain n'était que une part dans l'Infini de l'Univers
car le mot "départ" est bien la pensée de "partir pour quelque part", qui intuitivement se tient prêt à autre chose.
La Science Médicale a offert à l'Humanité de ne plus souffrir ce que les médecins de l'Ancienne Egypte il y a 3000 faisaient, comme plus modernes, les Gué-risseur(e)s d'avant le Moyen-Age et suivants. L'humanité a toujours eu des personnes soignantes pour soulager des maux, dont les maux mentaux, dont les maux de l'Ame. Et contemporainement, la Souffrance est prise en charge parce que dans les codes sociétaux, le mot Souffrance a été reconnu, validé comme Toutes les Formes de souffrance ; c'est cela qui amène à la conceptualisation de la FIN DE VIE.
Bien que, et il faut le noter dont dans le Débat Parle-mentaire qui doit avoir lieu prochainement, des demandes de "départ" sont faites par des personnes très âgées qui du fait de la Science, ne souhaitent pas prolonger une vie longue où ils/elles n'y trouvent plus d'intérêt comme d'autres sont dépendant(e)s.
Majoritairement et par expériences d'accompagne-ment de patient(e)s comme de personnes qui viennent me consulter, C'est la Souffrance qui fait la demande de Fin de Vie et cela concerne des laïcs, des gens de croyances populaires qu'on peut relier à une spiritualité de la Terre, des gens pratiquant une spiritualité comme religion, car il faut dissocier la Fin de Vie charnelle de l'Accompagnement de l'Ame.
Passeuse d'âmes, je prends en charge la Chair incarnée comme j'aide au détachement de l'âme, et Je sais que accepter la demande d'une fin de vie ne modifie pas le parcours de l'individu à conscientiser "son départ" comme pour l'accompagnant soignant comme thérapeute à l'aider dans son incarnation et son choix "du départ anticipé", et ne modifie pas non plus l'aide de la passeuse d'âmes. Car la FIN DE VIE conscientisée dans sa demande comme accompagnée est aussi dans le registre plus invisible de l'âme comme de la mort qui vient scander un Temps d'incarnation, une Liberté. L'importance est l'accompagnement à la fin de vie. Ce qui m'amène dans des lieux comme chez des humains qui me fotn la demande est de gérer la violence dans la mort (suicide, mort violente) soit un Fait de Fin de Vie qui correspond à une situation tragique où le "départ" n'a pas eu le temps de se conscientiser ni de se préparer à ne plus être incarné, ce qui pose pour une passeuse d'âmes, toute la Réalité d'aider, après le ou les décès de morts violentes comme leurs proches, à aider au Passage comme au Repos de l'Ame, des Ames. Ce qui va de façon sociologique civilisationnelle avec ce que j'ai écrit plus haut, les Rituels autour de la Mort. Dans une aparté rapide, il faudrait que J'aille laver tout le sang des morts violentes aussi bien à Gaza, en Syrie, en Ukraine car la dé s'incarnation violente laisse des empreintes que l'on peut dire cosmologiques.
SOUFFRANCE est le Débat Parlementaire qui lie la philosophie, la médecine, la spiritualité comme le laïc, et il faut penser souffrances familiales, souf-frances de couple, qui sont autant les souffrants de la situation vécue par l'un(e) des leurs qui leur deman-dent à mourir. François comme autres religions, Je m'adresse à vous : - l'Humanité même si elle est minoritaire, pleure sur les malheurs et n'est pas indifférente / - la Souffrance n'est pas un vecteur de "mieux conscientiser" son Soi et son Soi et les Autres, bien que les obstacles de vie font "parfois grandir" comme "parfois chuter". Je ne crois pas que par la Souffrance de la Chair, l'humain devient meilleur et Josias-Jésus a accepté d'aller jusqu'au bout de sa volonté de Bonté et de Changer les choses mais n'a jamais voulu être mortifié dans sa chair.
La FIN DE VIE demandée est souvent faite dans un long parcours de maladies, de handicaps, de souf-frances, comme d'un empêchement global à vivre normalement. Et effectivement ce pose la question dans un Débat Parlementaire et du Sénat, ce qui est essentiel dans une Démocratie du 21ème siècle : Que fait-on et répond-t-on à la Notion de Liberté Individuelle ?. Qui décide pour Moi ce que Moi je décide ?. Est-ce que l'Etat de Droit est celui qui s'applique sur le Droit de la Personne ?
Et je renvoie aux Lois émises sous Chirac qui étaient une amorce des Droits des Personnes dont Enfants dans l'espace public des secteurs sociaux, sanitaires, médico-sociaux, le Président de la République re donnant leurs Droits aux Usagers et à leurs Familles.
Les Institutions Républicaines doivent se pencher sur la Liberté
et Est-il Fraternel(le) d'accéder à une demande de fin de vie à un frère, une soeur, d'Humanité ? Je pense que oui.
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