L'économie sociale et solidaire, une arnaque - le manichéisme, la rétrogradation du code du travail - le CAPITALISME et ses PAUVRES -


Module D'économie De Symbole Avec L'euro Billet De Banque ...

Les acteurs de l'économie solidaire et sociale sont les plus grands  ARNAQUEURS du capitalisme triomphant, mangeant sur les pauvres et la pauvreté en France

c'est Aubry qui débute l'initiative

c'est la SPECULATION sur la PAUVRETE, et l'enrichis-sement d'ESCROCS dont Borello SOS et de son staff, permettant des liberticides escroqueries, des avantages financiers par l'Etat,

Bref une arnaque indécente sur la pauvreté, les mi-grants, les sdf, les toxicomanes, l'enfance.

Borello donne 50 euros à ses salarié(e)s en fin d'année comme prime.Pervers il va proposer une idéologie pour que les salarié(e)s conforté(e)s dans l'ABNEGATION d'elles-mêmes et eux-mêmes acceptent d'être payé(e)s bien en deça de leur travail.  Mêmes travers que le préchi-précha d'être solidaire ce qui fait que l'Etat se repose sur des associations caritatives comme des gens bénévoles pour masquer ses manques et ses absences (dixit une responsable nationale secours catholique, ce qui est dit par les autres dont laïcs).

Le projet d'un business économie sociale et financier est financé par un ou des investisseurs privés qui sont remboursés par l'État en fonction de la réussite effective du projet soit une ARNAQUE. Il n'y a jamais de résultats probants.

 Pour devenir une entreprise de l'économie sociale et solidaire soit l'idéologie SOCIALO-NÉO LIBERALE , la forme juridique de votre société n'entre pas en compte. Ainsi, une société à responsabilité limité (SARL) comme une société anonyme (SA) peuvent devenir une entreprise de l'ESS. Le créateur devient un PATRON qui devient un parvenu qui décide seul, et ses sala-rié(e)s sous couvert de cette idéologie, se retrouvent SANS CODE  DU TRAVAIL, faiblement rémunéré(e)s. Une arnaque et une illusion complète.

 

Je n'ai pas attendu un grand délinquant comme Borello pour m'intéresser au travers de l'économie solidaire et sociale et formes dont les entreprises d'insertion, com-me de donner des cours d'économie. Le signal d'alerte a été fait par des assistant(e)s sociaux/les qui décidé-ment est une profession vigilante (daumezon, privée amie, pep orléans, toulouse aide malonga) ; car les AS sont les dispositifs relais auprès de la population en dif-ficultés comme la population qui par "petits ou moyens problèmes" se trouvent dans la filière RSA comme travailleur handicap milieu normal. L'honnêteté en 2015 par une assistante sociale CCAS est de m'infor-mer que les consignes sont d'accepter les gens dans le cadre du RSA, permettant en leur fournissant un reve-nu minimum, de les exclure de droits normaux à la retraite soit la période du RSA qui pour certain(e)s est de l'ordre entre 10 et 20 ans. Les conséquences sont  sur plusieurs plans soit une retraite minimum consentie par l'Etat, comme un blocage des vies dans la société. Des travailleurs sociaux et assistantes sociales vont commencer à s'inquiéter des dispositifs d'insertion complètement subventionner Etat et Collectivités locales ; et des conditions de travail, morales, de gens recruté(e)s qui se retrouvent à faire fonctionner une entreprise, soit agricole "maraîchage", soit "construc-tion pseudo-écologique", ect.. et où manque cruelle-ment l'accompa-gement sociétal et l'inclusion dans la société. On y retrouve des migrants, des femmes en difficultés, des marginaux, mais le discours comme dans des entre-prises d'économie sociale et solidaire est le leitmotiv "on vous sauve" comme "on vous donne une chance". La question du Droit comme du Code du Travail se pose au sein des entreprises d'insertion comme des entreprises de l'économie solidaire et sociale ; comme du pourcentage par année, des retours à l'emploi dans une entreprise normale pour la person-ne. La question est de savoir la rentabilité pour l'Etat et ses départements-communes de cette "insertion et ré-insertion" financement complet d'entreprises d'inser-tion et donc retour sur-investissement comme "qualité de vie socio-professionnelle" pour les personnes admi-ses dans ce dispositif.

Que vaudra l’« économie solidaire » si globalement la « refondation sociale » de M. Seillière s’impose ? La « refondation sociale » vise, à travers la substitution du contrat à la loi, à transformer des citoyens en sujets. C’est la re féodalisation que dénonce Alain Supiot  et non pas l’émergence d’une entreprise cito-yenne. Dans ces conditions, l’économie solidaire serait un faux-fuyant ou le masque attendri d’une économie capitaliste ayant achevé sa contre-révolution libérale, ramenant les conditions sociales un siècle ou deux en arrière.

L'économie sociale et solidaire est la magouille de F. Mitterand lié avant la guerre à des grands patrons et qui élu Président va vouloir se débarrasser des grèves, de la pauvreté et mettre en place ce qui va détruire la société française sur des générations, le RMI ; il insti-tue en France la CASTE des PAUVRES et la déchéance de leurs droits, de leurs vies dans la société, amenant des spéculateurs sur cette CASTE, ce qui donne l'éco-nomie sociale et solidaire soit la suite de l'ARNAQUE SOCIETALE de MITTERAND. soit la spéculation immo-bilière, l'enrichissement personnel du/des dirigeants, une forme d'esclavagisme des salari(e)s comme des bénévoles, et des conduites à risques.

Le caractère trompeur de l'économie sociale et solidaire est qu’elle est utilisée pour ne pas s’affronter au dogme libéral du recul, soi-disant nécessaire, des prélèvements obligatoires. En laissant croire qu’il y aurait un troisième secteur qui ne serait pas non-marchand, c’est-à-dire qui ne ferait pas appel à un financement collectif, ses partisans entretiennent une ambiguïté politique. Mais surtout, on peut craindre que le développement de ce tiers secteur serve de prétexte à la poursuite de la remise en cause de la protection sociale et à la compression drastique des programmes sociaux pris en charge par l’État, qui se déchargerait de ses responsabilités sur les associations et se défausserait sur elles de l’extension d’un emploi plus fragile, précaire et dont la rémunération serait l’addition de multiples petites aides ou financements, faisant perdre toute consistance à la notion de salaire et contribuant un peu plus à vider de son contenu le droit du travail

L'économie solidaire et sociale issue du libéralisme socialiste suite Mitterrand qui lui copain de patrons avant guerre et après guerre, va se débarrasser des pauvres, en les casant dans le RMI et gagne donc pendant ses deux mandats, la paix sociale et une illusion de bon père de la France pauvre. Sans absolu-ment s'occuper des conséquences

qui vont devenir un désastre très vite et sur plusieurs générations, social, pédagogique, éducatif, économi-que, Mitterand créant une CASTE de PAUVRES qui va devenir au fil des décennies une CASTE des INTOUCHABLES,

les sidérant dans des non-droits, les instituant margina-lisé(e)s, les bloquant dans l'emploi comme l'insertion, et les ayant largement tromper sur leurs non-droit à la retraite, ce que beaucoup vont s'apercevoir mais un peu tard.

Ces conséquences sont sur l'Etat qui ne s'arrête pas de compenser vis-à-vis de la caste des intouchables, finan-cièrement, et sur les Entreprises qui  se retournent vers de la main d'oeuvre étrangère toute qualification confondue pendant que des Préfets s'arrachent les cheveux pour trouver des salarié(e)s à certaines entre-prises dont agricoles.

La grande arnaque c'est l'économie solidaire, socialo-néo libérale, qui recrée la pyramide organisationnelle mais institue les non droits à tous les étages, usant et abusant de gens dans la pauvreté, la marginalité, le rmi puis le rsa, les toxicomanes, les sdf, les migrants, ect... Ce capitalisme dirigé par des gestionnaires d'écoles et des apprentis-patrons vivant sur la misère humaine se nourrit exclusivement des budgets de l'Etat qui déma-gogue a laissé faire ce désastre.

Les Entreprises ont donc souffert de ce climat de déchéance sociétale comme l'Education Nationale qui a peine à mobiliser les jeunes issu(e)s des habitus de leurs parents soit la dépendance de leur CASTE, tant au niveau scolaire que des apprentissages profession-nels comme études. Il y a une MENTALITE de CASTE et bien ancrée depuis 20 ans en France et qui pose les non inter-actions avec le reste de la population avec laquelle il n'y aucun lien social.

La population au travail n'est pas dupe de ce marasme, en parle, le dénonce, et continue d'être la pompe à fric de l'Etat, pour combler les budgets collectifs. Le SEPARATISME est celui entre des couches de la population et la CASTE qui s'est enfermée, se croyant dans des privilèges, se réunissant entre initié(e)s des aides publiques, et formant une cloison étanche avec le reste de la société française. Des fonctionnements à risques dont répétitifs entre générations se mettent en place, générant tout ce qui n'est pas "lien social" et l'Economie solidaire et sociale issue de grands spécula-teurs comme escrocs va renforcer la casse sociale, la casse d'entreprises, la casse pédagogique scolaire, et renforcer Tout ce qui n'est pas sociétal, Tout ce qui n'est pas intégration, Tout ce qui est exclusion,

tout en détroussant l'Etat qui a été incapable de faire comme l'INDE qui elle l'a fait, s'attaquer à la patholo-gie de la caste des intouchables en France.

Les spéculateurs vont proposer moyennant des millions d'euros donnés par l'Etat "la mule de l'escroquerie or-ganisée" Tout ce qui peut leur rapporter de l'argent sous fonds de Pauvreté dont certains organismes de formation dont l'Afec d'Orléans, des financements à rebonds sur un public "casté" et une volonté dite de ne pas les emmener vers l'emploi parce que "ah non, pas d'emploi, il faut bien qu'ils et elles reviennent pour que mon centre de formation aie de l'argent".

L'économie sociale et solidaire est un leurre dont pour ces gens pauvres qui sont mis(e)s dans une Précarité organisée et bien installée dont il ne faut surtout pas sortir, sinon l'entreprise capitaliste sous fonds d'arna-que "néo socialo-libérale" n'aurait plus l'argent de l'Etat, le Patron ne serait plus invité dans des repas luxueux, et ne pourrait  s'offrir un dédale de luxe, un peu partout.

1er salaire sans droit du travail dans l'entreprise économie solidaire et sociale : moins de 1000 euros par mois

1er salaire avec tous les droits dont du règne de l'esclavagiste dans l'entreprise économie solidaire et sociale : 12 000 euros par mois,

Ce qui ne traduit que le parallélisme avec le fonction-nement employé du Capital théorie depuis le 19ème siècle, mais avec l'hypocrisie complète "du type argenté, escroc, qui fait croire à une compassionnelle prise en charge de publics comme de situations sociétales dont l'Etat se contre-fout depuis quelques décennies".

Un des exemples :

Financés par l’État, les hébergements d’urgence pour pauvres et demandeurs d’asile sont un business juteux dont les 30 CHRS de SOS mais qui n'est pas le seul voleur. Un rapport sénatorial de mai 2021 sur la poli-tique dans ce domaine estime à 2,2 milliards d’euros annuels le budget qui lui est consacré. De son côté, Didier Leschi, Préfet et Directeur Général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, estimait, dans une tribune parue dans Le Monde le 8 janvier 2021 que l’État lui consacre plus de 3 milliards. Donc l'économie solidaire et social court derrière le pognon.


((On note que le Patronnat Français quelque soit le secteur comme la taille est le seul à respecter le Code du Travail (avec parfois quelques difficultés passagè-res) donc à payer les Charges Patronales et autres ce dont sont exonérées les Arnaques Economie solidaire et sociale)).


Ce marasme a un coût social, sociétal, humain comme d'entreprises quelque soit la taille. Ce n'est pas tant l'argent que ces gens "castés" coûtent mais bien une INFLATION galopante des entreprises magouilles et escrocs de l'économie sociale et solidaire qui pompent les budgets de l'Etat. D'autre part et les Artisans s'en étaient plaint, la Concurrence Déloyale faite par les escrocs économie solidaire et sociale qui baissent les coûts de la production comme tous les salaires dans tous les secteurs dont de services,

et la récupération éhontée par ces spéculateurs des idées et pratiques bio et non bio dans les milieux agri-coles, d'élevage, un "étabhissement tentaculaire" sur les exploitations comme associations, cette économie sociale et solidaire arrivant à prendre les  budgets dans le Ministère de l'Agriculture depuis quelques décen-nies, dont chefs d'entreprises-arnaques se glissant auprès des fonctionnaires peu scrupuleux.

Des gens dont Macron qui d'un côté proteste sur le coût de la caste, mais qui de l'autre met la main sur le porte-feuille collectif national pour le donner aux spéculateurs car incapable de gérer un problème qui a des répercussions sociétales, et ceci dès 2017 ; ce qui donne un Le Maire qui est joyeux de recevoir de la main d'oeuvre ukrainienne, Pole Emploi Français, parce que Macron n'a rien réglé en France dont de ce clivage s'agrandissant dans la société comme ces urkrainiens  qui arrivent à point nommé pour être de la main d'oeu-vre à bon marché.

 

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